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Chroniques colombiennes

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Chroniques colombiennes
8 avril 2008

La mâchoire de Maxence

  Claudia, la gentille“profe” de Maxence semble avoir un faible pour notre petit garçon (“tan lindo”, “tan hermoso”) qui est toujours pressé de grimper les marches pour rentrer dans sa salle de classe, qui mange bien, se lave les dents et va dorénavant faire une petite sieste avec ses camarades. Maxence, aussi, semble apprécier sa maîtresse, au point de l’imiter quand elle parle. Et cela pose un problème, (comme il est dit au début des histoires de Franklin, la tortue), car Claudia a une (légère) malformation de la mâchoire.
Ainsi, depuis quelques jours, Maxence a pris une habitude étrange et inesthétique : il place très souvent ses dents du bas en avant par rapport à celles du haut.
D’après notre dentiste, il vaut mieux lui corriger ce réflexe rapidement car ses os risquent de se déformer ; ce qui l’obligerait à porter un appareil assez contraignant, la nuit. Elle m’a aussi conseillé d’en parler à sa maîtresse si cela ne s’améliore pas pour que celle-ci l’incite à ne pas suivre son exemple. Mais évidemment, cela est très délicat et je ne me vois pas aborder le sujet (et lui dire en substance :“excuse-moi mais mon fils a pris un drôle de tic à cause de toi et il faudrait maintenant l’aider à parler “normalement””….).
Alors, pour le moment, toute la famille est vigilante et tente de le rééduquer en douceur…

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7 avril 2008

La piste aux étoiles

030  Hier, pour la 1ère fois de leur jeune existence, Maxence et Lila allaient au cirque. "El Circo de España", qui n'avait d'espagnol que le nom, mais qui avait toutes les caractéristiques d'un événement populaire latino-américain : l'organisation cahotique pour l'achat des billets et l'entrée du public sous le chapiteau, les abords du cirque envahis par les "marchands du temple", une musique assourdissante tout au long du spectacle et des artistes qui, outre les différents personnages et rôles qu'ils assumaient sur scène, se transformaient entre chaque numéro en vendeur de bonbons, pop-corn et autres gadgets vibrionnants, lumineux et inutiles... Sans doute le côté le plus pathétique du spectacle où l'artiste qui, quelques minutes auparavant brillait sur scène dans son habit de lumière,  réapparaît sous vos yeux la minute suivante dans un tee-shirt miteux et sans éclat pour vendre la camelote dont le cirque tire finalement la plus grande partie de ses bénéfices. On ne peut s'empêcher de penser à l'Albatros de Baudelaire : "Lui naguère si beau, qu'il est comique et laid."

  Hormis ces à-côtés qui ont touché les parents mais auxquels les enfants ont été totalement étrangers, tout s'est bien déroulé. Comme le montre la photo  placée en début d'article, qui illustre ce billet, Lila a tremblé devant les trapézistes se balaçant à 10 mètres au-dessus de la piste; Maxence, lui est resté attentif tout au long du spectacle, applaudissant à la fin de chaque nunéro. Mais, ils retiendront surtout du spectacle l'entrée sur scène de Barney et de ses amis, auprès duquel ils ont posé pour l'éternité.

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Le chapiteau du cirque, nous ramène, nous parents, quelques années en arrière...

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Sous le chapiteau rougeoyant les enfants s'impatientent...

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Le spectacle s'ouvre sur un numéro de voltige ...

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... une gracieuse, femme araignée, prend la suite du "Petit Prince des airs"

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Les clowns constituent un moment fort du spectacle...

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Sans son nez rouge, auriez-vous reconnu le clown de la photo précédente ?

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Autre moment fort, la voyante qui lit les numéros de cartes d'identité prises "au haasrd" dans le public

(elle n'a cependant pas pris celle que lui tendait désespérement Géraldine)

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Mais le vrai "clou du spectacle"...

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... ce fut Barney autour duquel tous les enfants se sont agglutinés en un instant...

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... et quand je dis TOUS les enfants ...

4 avril 2008

Religion, commerces et misère

  Dans le centre ville, tout à côté de l’Alliance, on trouve l’église apostolique de Jésus-Christ et au coin de la rue, un collège de bonnes sœurs pour jeunes filles. En face de notre lieu de travail, il y a le petit supermarché où je vais acheter le lait pour les enfants, le « gran refrigerio » où l’on vend «  buñuelos », « pandebonos », « pan de queso », un coordonnier logé dans un microscopique « local » guère plus grand qu’une boîte à chaussures mais aussi des petites gens, avec sur le trottoir, leur « stand « de cigarettes, bonbons, biscuits, légumes, fruits ou chips abrité par un parapluie les protégeant modestement de la pluie ou du soleil, une « vendeuse » de chewing-gums assise sur le sol à qui Pascal laisse régulièrement quelques pièces. Et au milieu de tout cela, en travers des trottoirs, des paquets d’hommes dorment allongés, au grand jour.

3 avril 2008

Pourquoi je m'expatrie ? (1)

       tu_sors                                                                                  On me demande souvent pourquoi je pars à l'autre bout du monde alors qu'en France j'ai une famille, une maison et un boulot. Plutôt que de longues explications, je préfère vous laisser lire la lettre que m'a envoyée un collègue prof, avec son autorisation, pour me parler de son quotidien qui fut aussi le mien il y a peu. Le lecteur ne prendra pas tout au 1er degré; la lettre en question, émanant d'un collègue doté d'un fort sens de l'humour, n'ayant pas eu vocation à être publiée, il faut plutôt la prendre comme un "debriefing" après les journées, souvent épuisantes nerveusement que l'on vit dans les collèges de Zep.

"Ben alors,  tu vas pas me dire que tu bosses, on sait c'que c'est l'boulot comme toi, c'est p'tits fours et gros coktails, ouaip.

Moi je me désagrège,... Les 3° sont pas humains.. Si j'avais pas alzheimer, j'aurais plein d'anecdotes à raconter... Mais comme m'a dit L***, 3°*, pas plus tard que que cet aprés-midi: "Ça va, avec vos commentaires"; bon, je lui avais juste demandé de se taire, pour la énième fois et, pour détendre l'atmosphère, je lui faisais remarquer que son incapacité à le faire était peut être due à la terrible maladie de la "commentarite". Il a trouvé ça désagréable alors que c'était dit avec le sourire, et qu'il méritait plutôt des claques qu'une plaisanterie; mais quand on est viril et fier comme il faut l'être quand on est pas un bouffon, on rigole pas... Du coup, regard qui tue - ça, j'adore, j'aime leur faire remarquer que je suis trés impressionné, ouh la la regarde je vais pleurer...- et corps tendu sous le survêtement grotesque...Mais je suis moins joueur qu'avant, et je ne lui ai donc pas dit que je ne pouvais pas m'arrêter de commenter, parce qu'il m'avait contaminé... Ça a fini avec une explication de gravure amusante, pour moi...

Bon, j'ai aussi Z*** (...), celui-ci, il m'a fait dire que j'allais "le regretter" -" le" se rapportant à l'heure de retenue que j'ai eu l'impudence de lui donner (je devrais peut-être les vendre, d'ailleurs, au moins ça me rapporterait qqch...); inutile de te dire que je tremble, d'ailleurs je ne sors plus, la preuve c'est que là, et ben je suis chez moi!..

N'oublions pas J***: lui est spécialisé en écho, avec variantes: il peut répéter ton dernier mot, le répéter en le déformant, ou opérer une transformation surréelle: ainsi, il est possible d'entendre un "poitrine de boeuf", fort clairement énoncé, ce qui serait une qualité si le moindre rapport à la réalité pouvait être décelé. Mais non, c'est juste une pensée (??) qui sort, comme çà, un peu comme si les sphincters cérébraux se relachaient. D'ailleurs, il va en classe relais avec un suivi psychologique individuel. J'espère qu'ils ont prévu un anti diarrhéique du cerveau...

Bon, c'est vrai, je ne suis pas charitable: on pourrait croire que c'est une forme d'humour décalée de la part d'élèves supèrieurement dialecticiens, mais non, c'est juste de la connerie...j'aurais pu en citer pleins d'autres, avec les noms... Mais entre ceux qui se vautrent sur la table - sans doute entrainés par le poids du cerveau...c'est facile, je sais, mais je fatigue...-; ceux qui comprennent la consigne à la 8ème fois, ceux qui oublient leurs affaires ah ben y avait des devoirs ah ben faut copier ah ben  avec un stylo ah c'est dans ce sens ah ben si j'aurais su j'serais moins con, ceux qui passent leur temps à bavasser mais non j'ai rien fait, qu'est-ce que j'ai fait/ dit/ pensé, ben rien justement c'est le problème, ceux/celles qui font leur "courrier" - des guillemets, parce que la forme y touche le fond de telle sorte que le langage infra humain utilisé, une sorte de dialecte paleo/graphique ne peut pas vraiment être rangé dans la catégorie qui abrite aussi, par exemple, Madame de Sévigné ou Mon Moulin, oui, le fameux auteur popularisé par Alphonse Daudet, le fameux auteur caprinophile -- , ceux qui mettent deux plombes à fermer le cahier ouvrir le cahier sortir les affaires rentrer les affaires, fermer leurs grandes...bouches et donner le Carnet de Liaison, et , comme disent les ibères non lusophones: "un largo etcetera" de branleurs, pénibles, mal élevés et autres lourdingues qui me font me demander chaque jour un peu plus si, plutôt que l'agrèg, j'aurais pas dû faire une reconversion quelconque...

Ouh là, mais qu'il est négatif!! Et encore, je me retiens.Et puis la journée a été dure et il se fait tard, ma bonne dame...

Au départ, c'était pour te demander de tes nouvelles, mais tu vois comme je suis égocentrique...

Bien, sur ce, si tu trouves le temps, n'hésite pas à répondre!!

A plus pour de nouvelles aventures intitulées "Le niveau monte, mais où sont les bouteilles?"

Signé : P***

A suivre...

1 avril 2008

Poisson d'avril

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Tiens, le petit Maxence s’est fait piéger, le 1er avril, par sa farceuse de soeur!

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1 avril 2008

Météo aguacero*

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Fin mars, defilé de parapluies. Voici venue la saison des pluies. Celles qui font le temps gris. Celles qui font se remplir les taxis. Celles qui, sur nos toits, font tant de bruit.
Voici venu le temps des orages et des éclairs qui éteignent la lumière.
Le son, en face , des groupes électrogènes et nos dîners peu romantiques à la bougie.

*averse 

31 mars 2008

Les pages d’écriture

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Ça y est, Lila  commence à écrire et cela la passionne même plus que de colorier les sirènes, les bateaux ou autres clowns faits par son papa, et bien plus que le dessin ! A la maison, elle a même inventé un nouveau jeu : elle dit des mots qui lui passent par la tête en français ou en espagnol (“princesse”, “tiburón”…), nous les lui inscrivons sur son cahier et elle reproduit le modèle en commentant les lettres (“bolita”, “palito”,”gorrita” “que saca la lengua”… (les équivalents de “bâton”, “boulette”,“casquette”, “lettre qui tire la langue”…).

26 mars 2008

Signe de croix en anglais !

Lila a un programme d’apprentissages assez chargé à l’école : coloriage, écriture, éthique, musique, poésie, espagnol, sciences sociales, travaux manuels, éducation physique, informatique et …anglais !
L’autre jour, entre la comptine chantonnée avec un accent colombien

“Hello teacher, hello teacher
How are you ?
Very fine thank you”

et la récitation des couleurs “blanco white”, “ rosado pink” et l’improbable “morado “pourplé””, Lila a fait le signe de croix en prononçant :

“In the name of the Father
Of the Son
Of the Holy Spirit
Amen”.

Je ne sais pas si les enfants ont appris à faire le signe de croix en anglais dans un contexte particulier mais j’ai trouvé l’idée pour le moins surprenante venant d’une école laïque !

25 mars 2008

Photographe et modèle

A Santa Marta, Lila n'a pas seulement appris à sauter toute seule bien droite du bord de la piscine des grands, à surfer dans les vagues avec son bateau et même à "modeler" (des jeunes filles s'étant amusées à lui montrer des rudiments de l'art de défiler sur les podiums, "modelar" en espagnol), elle a également fait ses premiers pas en photographie avec l'aide de son papa. Elle sait maintenant bien cadrer le sujet, attendre patiemment le déclenchement du flash et a pu prendre quelques clichés aussi intéressants que la lampe de la chambre d'hôtel ou le téléphone... Néanmoins, le portrait de Maxence reste à ce jour sa photo la plus réussie, à nos yeux.
Voyez plutôt...

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Maxence répondant aux injonctions de sa soeur "¡sonría!", "¡ouistiti!"

24 mars 2008

Vacances à Santa Marta sur la côte caraïbe, Pâques 2008

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     Santa Marta est une ville d'environ 350 000 habitants située sur la côte Caraïbe de la Colombie. Il s'agirait de la plus ancienne ville coloniale de Colombie, fondée en 1525 par Rodrigo de Bastidas qui posa ici son pied de colon.  L'intérêt de cette ville et de cette région repose surtout sur la présence du parc Tayrona (du nom du peuple indigène qui s'était développée dans la baie de Santa Marta et comptait parmi les plus avancées de la civilisation amérindienne ), un des plus beaux et les plus variés de la planète selon les dires. Ce parc abrite notamment, lorsqu'on s'y enfonce profondément, la " Ciudad Perdida" ou "Cité Perdue" ("dernière énigme précolombienne d'un peuple disparu avant la conquête", selon le Petit Futé) qui a été mise à jour il y  peu de temps (en 1975), à l'instar du Machu Picchu au Pérou.  On accède à cette cité au bout de 3 jours de marche dans la montagne et autant pour le retour. Autant dire que, malgré notre envie, la présence de nos deux enfants en bas âge nous interdisait l'accès à cette "cité perdue". J'ignore de plus si  l'Ambassade  nous aurait donné l'autoristation de nous y rendre, le lieu, à cause de la guerilla,  n'étant pas considéré comme complètement sécurisé.

    Il existait cependant une autre option qui nous aurait tentée : celle de louer des éco-habitations dans ce même parc. Mais si ces cabanes rondes, reprenant le modèle de celles de l'antique peuple Tayrona, perchées dans les arbres  avec vue á 360° sur le parc et vue panoramique sur la mer des Caraïbes nous paraissaient tentantes, l'absence de plage sûre à proximité et la nécessité de marcher ou de partir à dos de cheval pour en trouver une nous a finalement dissuadé de mettre à exécution notre projet.

    Bref, nous avons opté pour l'option la plus simple quand on a des enfants : l'hôtel Decameron, "all inclusive resort", dont nous sommes désormais de bons clients (après y avoir logé à Cartagène et San Andres).  Les enfants ont pu profiter ainsi pleinement de la plage privée ultra-sécurisée, de la piscine, des activités pour les enfants, des balades à cheval, des différents restaurants offrant à volonté de délicieux jus de fruits tous plus colorés les uns que les autres, des glaces aux multiples parfums et des gâteaux en quantité plus que suffisante....

    Nous avons donc assez peu bougé durant ces 6 jours, à l'exception d'une balade en chiva (petit bus très coloré) dans le parc Tayrona pour rejoindre la "Playa Cristal" située dans une très jolie baie, d'un petit tour dans la ville de Santa Marta et d'un autre petit tour sur le "Rodadero", front de mer très touristique situé à dix minutes du centre ville...

Mais puisque les images sont plus parlantes que les longs discours, voici le voyage en images autour de quelques rubriques ...

INFRASTRUCTURES DE l'HOTEL

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Oui, un peu effrayant comme ça le bâtiment central de notre hôtel. Mais rassurez-vous, on ne le voyait se dresser que de la plage et il y avait aussi quelques petits appartements perdus dans la végétation. Nous logions dans l'un d'eux...

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Hall de l'hôtel

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Vue du fameux galion qui donne son nom à l'hôtel  (el Galeón) et surplombe la piscine : il abrite deux restaurants : celui de fruits de mers dans la coque et l'asiatique sur le pont...

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Vue de la piscine au premier plan et de la plage à l'arrière-plan depuis le pont du galion...

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Autre vue de l'hôtel et du bar "el caïman" (à gauche), un des 5 bars que compte l'hôtel...

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Piscine pour "les grands" donc...

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... mais aussi pour "les petits", de l'autre côté du galion...

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Le restaurant de fruits de mers, à l'intérieur du galion, idéal pour les dîners en amoureux...

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Le restaurant asiatique, sur le pont du galion, offrant, outre une succulente nourriture, une magnifique vue sur la mer et le coucher de soleil...

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El Rancho, restaurant tout indiqué pour déguster une "parillada" (assortiment de viandes grillées) typiquement colombienne...

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Affleurant à peine du sol, le Mama Mia, incontournable restaurant italien où il fait bon avaler une assiette de "spaghettis carbonara"

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Le buffet-restaurant international, perdu dans la végétation tropicale où nous avons pris presque tous nos repas de midi et tous nos petits déjeuners...

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Plage de l'hôtel. 1

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Plage de l'hôtel. 2

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Plage de l'hôtel. 3

Excursions

Comme je vous le disais plus haut, peu d'excursions durant ce séjour, un petit tour du centre ville de Santa Marta, un petit saut sur le Rodadero, son front de mer avec ses restaurants touristiques, sa plage avec ses marchands ambulants qui passent au rytme d'un toutes les 4 secondes et le parc Tayrona avec sa plage d'aguas cristales lovée au pied des Andes qui se jettent ici dans la mer...

PLAYA CRISTAL DANS LE PARC TAYRONA

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Le départ en traditionnelle "Chiva", toujours un grand moment...

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Playa de las "Siete Olas" (plage des 7 vagues) à l'entrée du Parc Tayrona

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Vue de la baie de "Playa Cristal" depuis l'embarcation qui nous emmène vers la plage du même nom...

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Playa Cristal

Le cadre était somptueux,

Mais les touristes nombreux...

SANTA MARTA

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Pour gagner le centre ville, ce n'est plus la "Chiva" touristique mais la "buseta" (le petit bus) locale pas prévue pour le touriste mais elle aussi très typique avec ses photos de la Sainte vierge qui cohabitent avec celles, moins pies de femmes nues et protubérantes...

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Le centre ville de Santa Marta a conservé quelques ruelles environnées de maisons aux façades coloniales... Maxence qui a fait ce jour-là une poussée de fièvre se retrouve, bien légitimement dans les bras de maman...

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Bel exemple d'architecture coloniale

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Les antiques maisons coloniales ont été, pour certaines d'entres elles, converties en hôtels au charme au moins de façade...

LE RODADERO

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La station balnéaire de Santa Marta à 10 minutes du centre ville possède une plage qui ne manquerait pas de charme si...

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... elle n'était prise d'assaut par les marchands ambulants qui déferlent au rythme d'un toutes les 30 secondes devant la tente que vous devez louer...

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... et si le site naturel plutôt joli n'avait été défiguré par les inévitables immeubles dont certains financés par de l'argent "trouble"...

JEUX D'ENFANTS

    Bien sûr, si les grands rêvent de découvrir la cité perdue en cheminant plusieurs jours dans les sentiers naturels du Parc Tayrona et d'arpenter tranquillement la vieille ville, c'est les enfants qui décident des activités de la famille. Et je crois qu'on peut dire qu'ils n'ont pas eu de quoi s'ennuyer : "magnéto Serge!"

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Il y a bien sûr les joies de l'eau, dans la mer ou la piscine des grands, avec maman et sans les brassards, s'il vous plaît !

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... et quand on est sorti de l'eau, reste le plaisir de contempler ceux qui s'y trouvent encore : en l'occurence les poissons et les tortues d'eau qui nagent autour du galion...

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On peut aussi entretenir des conversations passionnées avec les perroquets qui veillent sur la plage...

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... avant de s'essayer aux incontournables châteaux de sable avec sa soeur...

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... ou à l'ombre des cocotiers avec les autres petits pensionnaires de l'hôtel sous l'oeil attentif des nounous

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Et quand on en a assez, rien de tel qu'un bon hamac, toujours à proximité sous les tropiques...

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Les transports en commun locaux offrent aussi une source infinie de divertissements... que ce soit la "chiva"...

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... ou le petit bateau de pêcheur avec le vent et les embruns qui sautent au visage !

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...ou le cheval Lucerito ...

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... qui nous a fait faire de bien belles balades à nous deux autour de l'hôtel...

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...les balades à pied dans la ville, toute seule comme une grande de 4 ans, sont aussi l'occasion de bien des découvertes et des rencontres ...

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... notamment dans les boutiques d'artisanat local...

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Et quand on rentre à l'hôtel bien fatigués, rien de tel qu'un jus de fruit naturel...

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... à la terrasse du "Caiman"

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...car les vacances, qu'est-ce que c'est fatigant !

POUR VOIR L'ALBUM PHOTO DU VOYAGE CLIQUEZ ICI

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